Résumons l'année 2023

L’année touche à sa fin...

Résumons l'année 2023

Premier semestre de l'année 2023

L’année touche à sa fin et avant les sempiternelles vœux pour la nouvelle année, clôturons celle-ci avec panache.

D’aucun me dirait, oui ce n’est pas non plus l’année de la comète ! En effet, mais si l’on devait l’attendre, la comète, pour faire une bonne année, hein ! Surtout que son dernier passage était en 1986 et celui-ci n’avait pas été spectaculaire, témoignage de l’époque : Tiens j’ai vu passer un truc.

Bon peut-être une belle année pour les vins, et encore pas pour tous. En revanche, en décembre 2023, la comète vient d’amorcer son demi-tour et revient à fond d'balle, pour passer près au plus près de la terre en 2061. Donc aujourd’hui, la comète n’a jamais été aussi loin de nous pour la majorité d’entre nous mais revient vers nous.

Oui car la dernière fois qu’elle était si loin c’était en 1947, et l'année 1947 est l’une des plus grandes années pour le Château Yquem. Alors quand on dit c'est l'année de la comète, ouais ben ok ! Bon ceci dit, continuons sur onetip.

Comète de Halley

Revenons sur cette année 2023 riche en événements pour onetip, rebonds, retours, contretemps, rebondissements (c’est comme un rebond mais avec des conséquences plus inattendues), enthousiasme, succès (oui et beaucoup), déception (sans S car il n’y en a eu qu’une, le jour où une serveuse m’a dit qu’elle ne voulait pas de pourboire dématérialisé mais qu’en espèce et même si son client n’a pas d’espèce. Va comprendre), réussites, avancées et contre-avancées (une contre-avancée c’est comme une reculade mais en plus positif, comme la non-croissance pour pas dire décroissance, ce sont des ruses d’économistes). Nous allons donc commencer le résumé de l’année 2023.

Je vais vous faire un petit résumé de l’année, mais alors rapide.

Le 1er janvier, rien, on était le 1er janvier faut dire.

Le 2 janvier, rien, c’était un lundi et on s’était dit on commencera mardi.

Le 3 janvier, donc lendemain du lundi, nous avons commencé par réfléchir sur les prochaines évolutions de onetip.

Le 4 janvier une matinée plutôt calme, et l’après-midi aussi

Nan j’plaisante, on a dit rapide.

Janvier l’équipe est constituée on lance les hostilités. Le cahier des charges est validé, l’étude de marché nous confirme qu’il y a un vrai intérêt, y a plus K. Et pour ça, il faut trouver les ressources nécessaires pour lancer notre solution. Recruter les équipes  de développement, de design, de communication, commerciales. Bon je vous rassure certaines équipes sont constituées d’une personne, parfois même cette personne est dans deux équipes en même temps. 

Février, on lance une augmentation de capital pour financer la matière grise. Celle-ci est bouclée rapidement et est sursouscrite. Ce qui fait toujours plaisir de voir un tel engouement et d’avoir un actionnariat très enthousiaste qui croit dur comme fer au projet et aux équipes.

Mars, avant de lancer le développement des applications et du site, on rédige les user-stories. Alors, pour ceux qui seraient aussi bilingues que moi, les user-stories c’est imaginer tous les cas possibles de l’utilisation de onetip, de ses applications, de chaque fonctionnalité afin de répondre à la moindre interrogation ou mauvaise utilisation. Il faut imaginer le grand Jacques avec des doigts trop larges qui appuie sur deux fonctionnalités en même temps, mais aussi le filou qui essaye de détourner l’utilité première de onetip, comme l’utilisateur qui change sa photo de profil toutes les deux minutes et qui va réussir à faire buguer notre base, ou celle qui refuse de donner son pseudo, son numéro de téléphone, son adresse mail et son IBAN mais qui veut quand même toucher des sous. Bon, la Product owner est très imaginative alors elle rédige, elle rédige …

- Tu as pensé au type, genre il télécharge l’application, il met son nom, son IBAN, sa photo de profil, il reçoit son QR code, il l’imprime, il le présente et reçoit un pourboire ?

- Heu ben oui, c’est un peu à ça que ça sert, non ?

- C’est pas faux.

Avril, on lance les développements de onetip, sur iOS, sur Android, tout en natif que du très beau. Dans le même temps, l’agence de design avec qui nous travaillons depuis longtemps crée l’univers de nos applications, tout est au top.

Mai, alors que les développeurs charbonnent, je vais à la rencontre de nos futurs utilisateurs, ce qui m’emmène jusqu’en Côte d’Ivoire. Hé oui, ce n’est pas facile tous les jours. 10 jours à Abidjan pour rencontrer de grands groupes qui aimeraient déployer notre système pour les acteurs du tourisme Ivoirien. Onetip à l’attention des touristes pour leur faciliter le don de pourboires. On a promis de se revoir très vite.

Juin, onetip sort sur IPhone, pourquoi d’abord iOS ? Disons que chez Apple ils sont très pointilleux et recalent facilement les applications qui ne répondraient pas à leur niveau d’exigence. On peut être recalé 2, 6 voire 28 fois, et généralement une application met 1 mois pour être validée et téléchargeable chez Apple. On est sur l’App-store au bout de 6 jours ouvrés et juste après trois renvois dont un que j’ai … comment dire … foiré. Oui c’est cela, foiré. Alors que l’équipe de contrôle d’Apple me renvoie dans mes 22 sur la dernière version, l’équipe de onetip corrige le petit point de distorsion et me charge de renvoyer onetip à Apple. Je m’exécute et je renvoie au contrôle la version … non corrigée. Mea culpa l’équipe.

Dans la foulée, onetip sort sur Android fin juin et le site web lui, en juillet. Tout est au vert et dans les temps.

Le premier semestre est bouclé et a tenu ses nombreuses promesses. Nous sommes fin prêts pour attaquer le deuxième semestre 2023. Et c’est là que je vais commencer à faire mon œuvre. Quand les bâtisseurs font place aux vendeurs. Attention, ça va pétiller dans les mirettes. Oui alors j’aurais pu dire, ça va remuer dans les brouettes ou éclabousser dans les ornières mais ça faisait moins tech…

Je vous donne rendez-vous pour le résumé du deuxième semestre lors de la prochaine newsletter.

Olivier

Happyness Rédacteur chez onetip